Bon, je viens de m’amuser un peu à faire des poèmes dont un traite sur Abalecon. Je voudrais
avoir votre avis sur celui-ci, question de voir si je dois cesser de m’y donner
à ce genre d’écriture ou y continuer:
Abalecon est comme un faucon,
Grand et fier avec un air, de grand aumônier,
Prêchant liberté, fraternité et égalité,
Personne ne saura le vaincre, même pas le lucre,
Abalecon est comme un accon,
Ouvrant ses portes vertes, aux adeptes de la révolte,
Pas avec du mécompte celte, mais avec de la main-forte copte,
Sincère et sans haut-commissaire,
Abalecon est comme un flacon,
Remplit d’un parfum, comme il n’y pas d’autre,
Merveilleux et périlleux, secret et sucré,
Une source, pleine de comparses de l’amour,
Abalecon est comme un balcon,
Ouvrant la vue sur un torrent cirant la passion,
Montrant le courant célébrant l’amitié,
La vraie, celle qu’on ne révolutionnera pas,
Voila qu’étoila la cime du Micromonde à jamais,
Abalecon, toujours elle avec tant de zèle,