Vos propos prouvent que nous avons raison et que la motion de censure est nécessaire.
Votre caprice d'enfant gâtée n'a que trop duré.
Attention, Ennemie Publique numéro UN, je vous tiens dans mon viseur, vous ne saborderez pas la démocratie ! Le pouvoir qui vous a été attribué, vous sera vite repris.
La lutte contre votre politique est engagée et n'aura de cesse que de vous remettre à votre juste place, au secrétariat de votre parti d'extrême droite !