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 Esclavage : et chez Stravìskova ?

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Pavlà Mjelètasova

Pavlà Mjelètasova


N : 17
Date d'inscription : 22/11/2009

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MessageSujet: Esclavage : et chez Stravìskova ?   Esclavage : et chez Stravìskova ? EmptyVen 12 Fév 2010 - 10:22

Alors que courent dans le micromonde plusieurs rumeurs selon lesquelles la souveraine du Rilekø, la princesse Lara, ainsi que l'ancien président cocagnien Kadabragne auraient des esclaves à leurs ordres, employés dans des conditions inhumaines, nous avons mené l'enquête à Abalecon pour savoir si la Chancelière fédérale Stravìskova avait, elle aussi, un petit pedreno à son sévice. Eléments de réponse avec deux interviews. D'abord la Chancelière fédérale qui, entre deux communiqués, a bien voulu nous répondre à ce sujet. Ensuite une employée du Palais fédérale. Confrontation.

PM : Mme Stravìskova, vous avez sans doute entendu parler de ces personnes employées abusivement par plusieurs personnalités étrangères, quelle est votre position ?

NS : Vous savez, je crois qu'il faut raison garder. Ce ne sont que des rumeurs que des communiqués officiels ont bien vite dénoncées. Un sujet aussi problématique provoque tout de suite des réactions enflammées, pour le plus grand malheur des personnes concernées. Comme M. Kadabragne par exemple.

PM : Que pensez-vous de l'esclavage dans lequel sont réduites certaines personnes par d'autres beaucoup moins scrupuleuses ?

NS : Pour être tout à fait franche, je ne vois pas l'utilité d'acheter un petit pedreno pour ça.. Encore moins un ghawanéen. Surtout au noir.

PM : Pourquoi ?

NS : Parce qu'il est plus simple de les rémunérer de façon officielle. Un esclave devient ainsi un employé de maison.

PM : Cela oblige tout de même à respecter certains principes que ne semblaient pas respecter les personnalités concernées.

NS : Je suis tout à fait d'accord avec vous. C'est ce que permet de garantir un emploi officiel : l'assurance d'une rémunération et des conditions de travail acceptables. Je suis écoeurée quand je vois que l'on fait venir des étrangers pour faire des tâches que n'importe quelle personne peut accomplir. C'est, à mon avis, ne pas permettre l'accès au marché du travail pour des personnes en situation précaire. C'est dommage.

PM : Bien entendu, je vous pose la question : avez-vous des « employés » pedrenos à votre service ?

NS : Non. Le jour où vous verrez un étranger dans ma maison n'est pas pour demain. En revanche je dispose d'employées de maison abaleconiennes, c'est bien normal pour un chef d'Etat que d'avoir du personnel.

PM : Comment les traitez-vous ?

NS : C'est à eux de le dire. Je pense que je les traite avec tout le respect qui leur est du. Vous savez, sans eux, ma mission serait beaucoup plus compliquée. Ils participent eux aussi, à leur manière, à l'image de la Chancellerie. C'est un travail d'équipe.

Bien entendu, nous n'avons pas manqué d'interroger l'une de ces « employées de maison ».

PM : Melle Kladòva, vous êtes employée au palais fédéral. Pourquoi ne souhaitez-vous pas garder l'anonymat ? Ne craignez-vous pas les représailles ?

IK : Non. La Chancelière ne connaît pas mon nom, alors vous pensez bien que je peux être n'importe laquelle des employées de Mme Stravìskova !

PM : Combien êtes-vous au service de la Chancelière ?

IK : Douze. En permanence. Mais on tourne, on est jamais toutes là en même temps, ça serait le bazar sinon. Et puis Mme Stravìskova ne supporterait pas ça.

PM : Vous ne vous ennuyez jamais ?

IK : Travailler pour Mme Stravìskova, c'est tout sauf une minute d'ennui. Elle est très exigeante.

PM : Avez-vous l'impression d'être une esclave ?

IK : Oh non, Mme Stravìskova est très bonne avec nous. Elle nous a offert à chacune un stylo avec ses initiales gravées dessus en doré pour nous remercier ! Pensez donc qu'on était heureuses toutes ! La dernière fois, mon fils était malade, et comme je n'avais personne pour le faire garder, elle m'a autorisé à partir à 21h au lieu de 21h30. Une collègue à même eu le droit de ne pas faire la salle de bains de fond en comble un soir, la chancelière lui dit qu'elle pourrait le faire le lendemain. De toute façon ça ne pressait pas, il y a plusieurs salles de bains. Et puis de temps à autre elle nous aide dans nos travaux.

PM : Comment ça ?

IK : Elle nous dit où est la poussière, elle a l'oeil pour ça !

PM : Pourquoi ne connaît-elle pas votre prénom ?

IK : Parce que nous sommes douze, et parce que ça change souvent. Elle a pas le temps de retenir ! Et puis Hého, c'est comme ça qu'elle nous appelle, c'est plus simple. On a l'habitude. La première qui entend, elle vient voir ce que Madame veut.

PM : Une petite indiscrétion à nous communiquer sur la Chancelière fédérale ?

IK : Oui. Elle ne porte jamais deux fois les mêmes habits. Remarquez ça nous arrange aussi, pas besoin de faire la lessive !
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