Très tôt, à l'aube du 27 Février, le téléphone spécial destiné au gouvernement, de la Chancellerie Fédérale sonna...
- Vlad Jevgèni, j'aimerais parler avec Son Altesse.
- Elle travaille !
-Hého, faites ce que je vous dis ! Ma patience a des limites !
Et comme si un mot magique avait été prononcé :
-Très bien M. Luknìšjenko !
Puis, dès lors que la Chancelière décrocha ;
- Bonjour madame, navré de vous importuner mais il semblerait que depuis les dernières menaces terroristes, des bunkers siègent autour de votre palais... Enfin bon, maintenant que j'ai l'occasion de vous joindre depuis le siège de la chefferie du gouvernement, j'en profite pour vous signaler que si d'ici Lundi M. Hösnigök ne se représente plus dans la vie politique, je donnerais ma démission car il est évident que je sois sous son autorité et que donc, s'il n'y a pas un chef pour l'infanterie, elle succombe.
Ma mission ne peut être remplie sans guide car seul dans un poste où je dépend d'un autre, je ne vaux plus rien, absolument rien.
Dans ce cas, je vous préconise de prendre des mesures d'ici lundi et ce, pour éviter une autre crise politique...