Discussion avec le Premier Ministre frôceux

Patrick Pélisson, Premier Ministre frôceux, entra dans le salon des ambassadeurs, il trouva cette salle d'une beauté exquise, tout en regrettant d'y venir dans un tel contexte

Bonjour Madame la Chancellière. Je vous remercie de me recevoir.

Je souhaiterai m'entretenir avec vous concernant les vives inquiétudes de mon Etat a propos de la situation en Abalecon. Je ne souhaite en aucun cas faire de l'ingérence, et résoudre vos affaires internes. L'urgence semble dans un premier temps de libérer les personnes emprisonnées.

Pouvez vous m'indiquer quelles sont vos intentions à court terme

En vous remerciant.

Le Premier Ministre froceux, fut rejoint par le Président Paul Arancio. Malgré les différences qui les séparent en Frôce, le Président à rejoindre son Premier Ministre.

Bonsoir Madame la Présidente,

Je vous fais part également de la plus vive émotion de mon peuple face à la situaiton en abalecon. En effet beaucoup de mes citoyens, ont de la famille ou des intérêts dans votre pays. Ils souhaitent et c'est bien normal les préservés.

Ensuite, il est important que les droits politiques s'apliquent dans tous le micro monde. Il m'a été remonté certaines décision qui semble arbitraire. Pouvez vous éclairer Patrick et moi là dessus?

Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre,

J'ai bien entendu l'appel lancé par de nombreuses nations qui s'inquiètent de la situation en Abalecon. Je tiens à vous rassurer. Abalecon n'est pas en train de sombrer dans la dictature. Les sessions de la Köglöt, notre assemblée fédérale, ont lieu une fois par mois, pendant une semaine. C'est-à-dire que les trois autres semaines restantes, la Köglöt reste fermée. Au regard des évènements actuels, j'ai préféré transférer la Köglöt à Pjednè, afin d'éviter que le bâtiment ne soit attaqué, et que les députés soient en sécurité.

Concernant les arrestations soi-disant arbitraires, nous avons en effet procédé à l'arrestation des agitateurs qui ont tenté de s'attaquer aux bâtiments officiels du pays. Quoi de plus normal ? Soyez sans crainte également de ce côté, ils seront jugés par un tribunal indépendant et normalement constitué.

J'ai, comme vous, été élue sur un programme. Je l'appliquerai. Ceux qui manifestent maintenant n'avaient qu'à voter pour l'autre candidat ou voter blanc. J'ai un principe : quand on a le droit de s'exprimer, on le fait. Après c'est trop tard, on ne vient pas se plaindre pour rien.

Madame,

Je pense sincèrement que vous n'avez pas pris conscience de la teneur des évènements. Ils sont vécus comme une agression par votre peuple et par les autres peuples des micronations.

Je ne pense pas que ce soient des bases saines de gouvernance, et ainsi, je vous serai obligé de bien vouloir nous montrer des signes de votre bienveillance et de votre bonne-foi

En vous remerciant

Madame la chancelière,

Votre réponse ne me convaincs pas sur vos attentions démocratique. Je dois avec regrèt rentré dans une politique de défiance envers votre égard.
Par ailleurs votre LIMICE que j'ai rencontré tout à l'heure, à des airs de GESTAPO qui font frémir.
M. Pélisson et moi avons donc décidé de donner asile aux abaleconien le souhaitant. Je vous fait part du décret que nous avons émis ce soir :

Article 1

La frôce consciente des soufrances du peuple Abaleconien dû à leur chancelière Natacha Straviskova et à la LIMICE à décidé d'ouvrir ses frontières sans condition à tous ressortissant Abaleconien

Article 2

Le Président Arancio, et le Premier Ministre Pélisson qui rentrerons ce soir d'Abalecon mettrons à disposition des réfugiés leurs avions privé, et veillerons à ce que les volontaires passent la frontière sans encombre.

Article 3

Afin de pourvoir à l'installation des nouveaux Froceux, la PMI passe exceptionellement à 200 pluzins et ce pour une durée de 15 jours. Elle sera versé dès l'arrivée des nouveaux Froceux sur notre sol, quelquesoit leurs provenances

Fait à Pôris, le 14 Décembre

Par Patrick Pélisson, Premier Ministre
Par Paul Arancio, Président de la République

Je vais donc repartir avec les réfugiés le souhaitant. Il est hors de question, ma p'tite dame, que votre LIMICE nous entrave, sachez que le SRF (Service de Renseignement Froceux) est ce soir entré en nombre dans votre pays, et veille aux intérêts démocratiques.

Salutations

La Chancelière ne put contenir un fou rire en entendant ces mots.

Par ce décret vous entérinez la libre-circulation des personnes si je ne m'abuse ? A quand les marchandises et les services ?

Relisez les Maximes de Madame de Sablé : "Rien n'est plus dangereux qu'un bon conseil accompagné d'un mauvais exemple"

C'est très tôt ce matin, que le Président Frôceux à quitté l'aéroport du pays, accompagné d'environ 300 abaleconiens dont 100 prisoniers politique. En effet, Arancio s'est présenté pendant la nuit à la prison Fédérale, accompagné d'une centaine de membre du SRF. Ils ont distribués aux gardiens des friandises, en échange du prêt de la clef de la prison, et son repartis avec les 100 prisoniers.



Au départ de l'avion, Arancio à déclaré que ce départ ne devait être que temporaire, car une fois le retour à la vie normale à abalecon, ces citoyens avaient vocations à revenir.

Mme la Chancellière,

Le décret publié dans notre pays est une porte ouverte et non une rupture des discussions. Je suis pour ma part disposé à discuter si vous faites preuve de bonne foi.

Dans le cas contraire, je serai dans l'obligation de quitter Abalecon comme l'a fait notre Président.

Mais je suis tout à fait disposée à discuter avec vous M. le Premier Ministre !

Je crois qu'il faut faire preuve de calme et de discernement, je ne suis pas convaincue que tout le monde ait compris cela.

Je voudrais savoir quelles sont vos attentes dans cette "crise" ?

Il y eu une intrusion à la chancelerie !

- Nous, peuple opprimé d'Abalecon demandons la réouverture immédiate de la Koglot, la libération des prisonniers et le vote de la motion de censure dans les plus brefs délais. !!!

Vive la République, Vive Abalecon !

Bien vite repoussée par un :

Vous appelez au respect des procédures, alors faites en autant !

Natacha Straviskova a écrit:

Mais je suis tout à fait disposée à discuter avec vous M. le Premier Ministre !

Je crois qu'il faut faire preuve de calme et de discernement, je ne suis pas convaincue que tout le monde ait compris cela.

Je voudrais savoir quelles sont vos attentes dans cette "crise" ?

Dans un premier temps, je vous serai gré de m'indiquer que comptez vous faire, et quels sont vos objectifs ? Pouvez vous nous donner une date de "retour a la normale" ?

Afin de rassurer la communauté internationale, il me semble indispensable que vous nous montriez des preuves concrètes, des actes concrets de bonne foi.

L'élection d'un président de la Köglöt est elle rassurante ? Cette dernière reprendra ses activités, je l'ai dit et annoncé près de dix fois, début janvier. Sauf si trois citoyens le demandent avant, auquel cas elle sera réouverte avant.

Nous procéderons également à la libération des prisonniers.

Bonsoir,

Je reste très étonné face a l'absence de réponse

Pourquoi ? Y avait d'autres questions ? Je ne comprends pas...

Natàça Stravìskova a écrit:

Pourquoi ? Y avait d'autres questions ? Je ne comprends pas...

Mes excuses, j'avais loupé un épisode (enfin un message). En tous cas, j'ai suivi votre pays et les éléments présentés me rassurent clairement.

Très bien, je suis forte aise d'entendre cela !

Jakòv Sakòrazyk arrive sur le territoire abaleconien, avec son groupe de révolutionnaires armés jusqu'au dents, estimés au nombre de 10 000.

Madame, je regarde la situation depuis bien longtemps, et il est temps que mettre fin à ces activités


Le peuple ne sera pas visé, et nous ne voulons pas de mort: alors ne nous résistez pas, toute résistance est inutile, vous serez emprisonnés.

CONTRE LA DICTATURE REJOIGNEZ NOS RANGS

Encore ! C'est pas vrai ça ! Je sais bien qu'on approche de carnaval mais quand même ! Et vous venez d'où vous ?

Du ghetto mécréante

Ahhh et bien ça doit être pour ça qu'on ne s'est jamais rencontrés ! Maintenant sortez je vous prie, vous viendrez causer chiffon plus tard, ou sur rendez-vous. On est pas au ghetto ici.

On est en dictature, et je suis la pour vous renverser.