Arrêté portant à détention d'un criminel

Citation :

Article Unique : L'individu Kire Nestla Trodkyl, né le 15 Juin 1974, fils de deux citoyens abaleconiens, responsable de double homocide volontaire avec préméditation, de tentative d'assassinat d'un haut fonctionnaire de l'Etat et d'agression caractérisée envers le personnel ministériel est placé en détention provisoire sous haute surveillance en attendant son jugement et son incarcération.

Le 25 février 2010,
Pjotr Iljàn od Kaštènahodic,
Ministre de la Communication, des Médias, de l'Information et de la Clarification.

Vlad Jevgèni Luknìšjenko a écrit:

- Il me semble que toute arrestation ne relève pas de vos compétences non?
Vous n'êtes ni chargé des affaires intérieures, ni de la police mais juste de la communication, des médias, de l'information et de la clarification, fit-il sèchement

Vlad, vous commencez sérieusement à me gonfler, pour rester poli.

Je crois pas vous emmerder avec votre daube environnementale, mais si vous y tenez je peux y remédier.
Cela me concerne doublement puisque c'était durant un entretien de clarification avec cet homme qu'il a tué deux de mes employés froidement et qu'il a tenté d'attenter à ma vie.

De plus il ne s'agit pas d'arrestation mais de détention provisoire. Il va de soi que la Chancelière en a été immédiatement informée et qu'elle prendra sa décision. Maintenant, Vlad, jevous invite à retourner à vos déchet et vos ordures et à cesser de vouloir vous rendre moins indispensable à la cohérence gouvernementale. Sachez qu'en tant que Ministre, j'ai le pouvoir de virer les secrétaires d'état. Et si vous persistez dans votre bêtise, je ne me gênerais pas.

Citation :

Sachez qu'en tant que Ministre, j'ai le pouvoir de virer les
secrétaires d'état. Et si vous persistez dans votre bêtise, je ne me
gênerais pas.

Riant presque aux éclats, Vladislav rétorqua :

- Monsieur le ministre, considérez bien le fait que je ne suis en aucun cas sous votre autorité mais que je suis sous celle de Gjör Hosnìgok et que donc, vous demeurez sans suprématie ou mainmise sur ma personne.
Ensuite si je puis me le permettre, retenez bien dans votre crâne d'œuf que vous ne devez votre place qu'à la bonté et la miséricorde du pouvoir et je ne mâche pas mes mots.
Bonne soirée, en espérant qu'un étranger comme vous saura à l'avenir, remplir ses fonctions avec tact et discernement.
Et au fait, n'oubliez pas, c'est vous qui m'avez cherché à mes dépends, vous ne devez donc vous en prendre qu'à vous même, un rictus de sadisme se fit de plus en plus grand sur la joue de Vlad

Vlad rit de plus belle :

- Très cher petit pot, votre soudaine montée et votre fulgurant emportement ne font qu'attiser votre faiblesse d'esprit.
Je commence même à douter de votre prétendu service à l'armée... enfin bon, il n'empêche que vous reconnaissez en m'insultant avec vivacité, que vous je vous ai fait cocu.
Ensuite bien au contraire de ce que vous supposez, un avis défavorable de l'Osàgközlöt n'est en aucun cas un déshonneur pour moi. Bien au contraire, c'est le signe d'un manque de précision et de justesse que je dois supprimer sur le champs.
Vous ne pouvez savoir à quel point voir je suis fier de voir un de mes projets examiné par le Conseil de la République et cela, parce que je suis déterminé pour servir mon pays et non mon égo borné comme vous.
Je le dis, je le répète, viendra un jour où votre nom ne sera plus à l'affût de la chose publique.

Tout à fait placide et quiet ;

- Ah, eh bien notre cher petit pot retrouve son calme dirait-on !
Toute la description que vous me faites du sous-officier tourmenté et brimé, c'est avec pathétisme que je constate qu'il s'agissait d'un exposé vous concernant et croyez le ou pas, j'en suis tout ému.
Non, plus sérieusement, je n'ai pas la prétention de vouloir être "calife", bien au contraire, ma seule raison de vivre pour l'heure, c'est justement ce calife dont vous me parlez. Ce calife qui vous a allaité, nourrit et honoré. Votre seul remerciement sera de faire tout le contraire de ses idées en vous rendant ridicule et en rendant dérisoire et saugrenue l'image que se fait l'opinion publique, des personnalités politiques. INGRAT...

Bien sûr. C'est pour cela que ce calife me garde. Ah, vous avez bien mérité votre titre de bouffon, j'en ris aux larmes.

Citation :

Ce calife qui vous a allaité, nourrit et honoré.

Arrêtez, on va finir par croire que vous parlez de moi.

Citation :

Arrêtez, on va finir par croire que vous parlez de moi.

Oui je sais, parfois la vérité peut blaisser...